Évite Baffes : la vie morose
(Édith Piaf : La vie en rose)
Non ce n'est pas une référence à Marcel Cerdan, le grand amour de sa vie, qui était boxeur ! J'ose espérer qu'il n'a jamais levé la main sur ce petit bout de femme fragile, qui par ailleurs était forte par sa voix et son caractère (racines kabyles obligent). Je souhaitais juste prendre le contrepied de cette histoire trop éclaboussante d'amour, en évoquant le quotidien peu reluisant d'une femme battue.
Chanson originale : La Vie Morose :
Des yeux qui font baisser les miens Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche Un rire qui éloigne les mouches
Voilà le portrait sans retouche Voilà le portrait du mec louche
De l´homme auquel j´appartiens Qui me maltraite au quotidien
Un rire qui se perd sur sa bouche Un rire qui éloigne les mouches
Voilà le portrait sans retouche Voilà le portrait du mec louche
De l´homme auquel j´appartiens Qui me maltraite au quotidien
( Refrain) ( Refrain)
Quand il me prend dans ses bras, Lorsqu’il prend de la vodka,
Il me parle tout bas Et qu’il me dit : « Barres-toi ! »
Je vois la vie en rose, Je trouve la vie morose,
Il me dit des mots d´amour Il me dit des mots balourds
Des mots de tous les jours, Des mots de tous les jours,
Et ça m´fait quelque chose C’est bon j’ai eu ma dose
Il est entré dans mon cœur, Il est entré dans mon cœur,
Une part de bonheur Une part de rancœur
Dont je connais la cause, Dont je connais la cause,
C´est lui pour moi, C´est lui pour moi,
Moi pour lui dans la vie Moi pour lui dans la vie
Il me l´a dit, l´a juré Il me l´a dit, l´a juré
Pour la vie M'as punie
Et dès que je l´aperçois Et dès que je l´aperçois
Alors je sens en moi J’ai des mots d’estomac
Mon cœur qui bat Je l’supporte pas
Des nuits d´amour à plus finir Des pluies de coups à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place Du grand malheur qui me terrasse
Des ennuis, des chagrins s´effacent Les ennuis, les chagrins prennent place
Heureux, heureux à en mourir Des bleus, des bleus à en mourir
Un grand bonheur qui prend sa place Du grand malheur qui me terrasse
Des ennuis, des chagrins s´effacent Les ennuis, les chagrins prennent place
Heureux, heureux à en mourir Des bleus, des bleus à en mourir
(au Refrain) (au Refrain)
Des nuits d´amour à en mourir De nuit, de jour c’est le martyr
Un grand bonheur qui prend sa place Ces sauts d’humeur qui me dépassent
Les ennuis, les chagrins s´effacent Ces beuveries de crétin m’agacent
Heureux, heureux pour mon plaisir Des bleus, des bleus pour son plaisir
Edith Pouffe : Son Machin Rose
(Edith Piaf : La vie en rose)
Cette deuxième parodie de "La vie en rose" transforme cette fois la belle histoire d'amour en simple histoire de cul. Je précise donc bien qu'il s'agit d'une version à caractère sexuel, plus ou moins imagée, au cas où ça gênerai certaines personnes. Mais bon, il n'y a rien de bien méchant pour des adultes tatoués et vaccinés !
Des yeux qui s’abaissent sur mes seins
Des mains qui se perdent sous la douche
Voilà le portrait peu farouche
Du mâle auquel j´appartiens
Voilà le portrait peu farouche
Du mâle auquel j´appartiens
(Refrain)
Lorsqu’il me prend dans ses draps,
Et qu’il me dit : « Prends ça »
Je sens son machin rose.
Il me dit des mots d´amour :
« Salope vient que j’te bourre »,
Et ça pimente la chose.
Il est entré dans ma fleur,
Un dard de butineur
Et mon pistil explose,
C’est lui sur moi,
Moi sur lui, pour la nuit
Il me l’a mise, l’as bourrée
dans l’frifri*
Et lorsqu’il est derrière moi
Alors je sens en moi
Son gland qui va.
Lorsqu’il me prend dans ses draps,
Et qu’il me dit : « Prends ça »
Je sens son machin rose.
Il me dit des mots d´amour :
« Salope vient que j’te bourre »,
Et ça pimente la chose.
Il est entré dans ma fleur,
Un dard de butineur
Et mon pistil explose,
C’est lui sur moi,
Moi sur lui, pour la nuit
Il me l’a mise, l’as bourrée
dans l’frifri*
Et lorsqu’il est derrière moi
Alors je sens en moi
Son gland qui va.
Des nuits d´amour à plus finir
Dans son labeur, il se surpasse
Si hardi, quand ces mains m’enlacent
Il prend son pieu pour me faire jouir**
Dans son labeur, il se surpasse
Si hardi, quand ces mains m’enlacent
Il prend son pieu pour me faire jouir**
(au Refrain)
Il fait des
tours à faire frémir
A toute vapeur dans la crevasse
Dans son envie, il est tenace
Il est odieux pour mon plaisir
A toute vapeur dans la crevasse
Dans son envie, il est tenace
Il est odieux pour mon plaisir
* J'hésitais avec : "Il a garni mon cornet d'chantilly", mais je trouvai la métaphore un peu graveleuse.
** petit jeu de mots avec "pieu" et l'expression "prendre son pied"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire